L’histoire
Le bourg de Sauvain, ancien village fortifié, a été bâti à partir du 11ème siècle autour du château fort qui dépendait de la forteresse de Couzan.
Il a été détruit par un incendie au 15ème siècle et l’église actuelle a été construite, au tout début du 16ème siècle, sur son ancien emplacement, en s’adossant sur l’ancienne chapelle du château.
Cela explique pourquoi le chœur est de style roman et le reste de l’église de style gothique.
On peut encore admirer aujourd’hui la porte fortifiée du château et une partie du chemin de ronde ainsi que des traces des remparts dans certaines maisons.
Une légende raconte que le Seigneur de Sauvain attaqué par des brigands au lieu-dit Fontabeau aurait fait un vœu à la Vierge de bâtir une église s’il avait la vie sauve.
Cela expliquerait le nom de Sauvain. Jusqu’au début du 20ème siècle des paroissiens se sont rendus en procession sur les lieux du « miracle » pour prier la Vierge qui est la Sainte Patronne de la paroisse.
La géographie
En 2025, Sauvain compte une population de 375 habitants (appelés les Sauvagnard(e)s).
La commune a une superficie de 3000 hectares dont 1000 ha de terres agricoles et pâturages, 1000 ha de forêts et 1000 ha de landes (hautes chaumes). L'altitude varie entre 640 mètres, au niveau du ruisseau de Pierre Brune (affluent du Lignon), et 1634 mètres au sommet de Pierre-sur-Haute qui est aussi le point culminant de la Loire.
Située à 60 km de Saint-Etienne et seulement 20 km de Montbrison et de Boën, Sauvain jouxte la station de ski de Chalmazel.
Sur les hautes chaumes, entre1200 m et 1600 m d’altitude, on trouve les jasseries qui étaient, jusqu’à la seconde guerre mondiale, les bâtiments d’estive où les troupeaux de vaches étaient rassemblés, de juin à septembre, et où les fourmes étaient fabriquées.
Aujourd’hui il n’y a plus d’estive dans les jasseries. Ces grands espaces de landes et de prairies souvent protégés au titre des Espaces Naturels Sensibles sont riches en biodiversité (faune, flore, tourbières…) continuent d’être utilisés pour faire paitre les troupeaux.
Le site des hautes chaumes, à cheval sur une quinzaine de communes de la Loire et du Puy de Dôme, sur une superficie de 14000 ha, est en cours de classement par l’Etat au titre des paysages pittoresques.
Le bourg de Sauvain, ancien village fortifié, a été bâti à partir du 11ème siècle autour du château fort qui dépendait de la forteresse de Couzan.
Il a été détruit par un incendie au 15ème siècle et l’église actuelle a été construite, au tout début du 16ème siècle, sur son ancien emplacement, en s’adossant sur l’ancienne chapelle du château.
Cela explique pourquoi le chœur est de style roman et le reste de l’église de style gothique.
On peut encore admirer aujourd’hui la porte fortifiée du château et une partie du chemin de ronde ainsi que des traces des remparts dans certaines maisons.
Une légende raconte que le Seigneur de Sauvain attaqué par des brigands au lieu-dit Fontabeau aurait fait un vœu à la Vierge de bâtir une église s’il avait la vie sauve.
Cela expliquerait le nom de Sauvain. Jusqu’au début du 20ème siècle des paroissiens se sont rendus en procession sur les lieux du « miracle » pour prier la Vierge qui est la Sainte Patronne de la paroisse.
La géographie
En 2025, Sauvain compte une population de 375 habitants (appelés les Sauvagnard(e)s).
La commune a une superficie de 3000 hectares dont 1000 ha de terres agricoles et pâturages, 1000 ha de forêts et 1000 ha de landes (hautes chaumes). L'altitude varie entre 640 mètres, au niveau du ruisseau de Pierre Brune (affluent du Lignon), et 1634 mètres au sommet de Pierre-sur-Haute qui est aussi le point culminant de la Loire.
Située à 60 km de Saint-Etienne et seulement 20 km de Montbrison et de Boën, Sauvain jouxte la station de ski de Chalmazel.
Sur les hautes chaumes, entre1200 m et 1600 m d’altitude, on trouve les jasseries qui étaient, jusqu’à la seconde guerre mondiale, les bâtiments d’estive où les troupeaux de vaches étaient rassemblés, de juin à septembre, et où les fourmes étaient fabriquées.
Aujourd’hui il n’y a plus d’estive dans les jasseries. Ces grands espaces de landes et de prairies souvent protégés au titre des Espaces Naturels Sensibles sont riches en biodiversité (faune, flore, tourbières…) continuent d’être utilisés pour faire paitre les troupeaux.
Le site des hautes chaumes, à cheval sur une quinzaine de communes de la Loire et du Puy de Dôme, sur une superficie de 14000 ha, est en cours de classement par l’Etat au titre des paysages pittoresques.